Revue de presse

Noburo dans les médias locaux

Nous sommes fiers de partager les plus récents articles qui parlent de Noburo dans notre communauté. Découvrez comment notre coopérative rayonne et contribue au dynamisme de la région.

29 avril 2025

Noburo: colocation pour travailleurs autonomes

COWORKING. Un peu partout dans le monde, le concept de coworking a fait ses preuves. Granby accueille à son tour un espace de cohabitation offert aux travailleurs autonomes grâce à l’initia- tive Noburo. Le concept est simple les travailleurs auto- nomes et microentreprises (moins de cinq employés) peuvent devenir membres de la coopérative Noburo. En payant leur cotisation mensuelle, les membres ont accès aux espaces de travail, aux salles de rencontre, à la cuisine et aux aires de repos. Pour le moment, les forfaits offerts sont de deux ou cinq jours par semaine. Le grand espace lumineux à aire ouverte situé au troisième étage de l’ex-usine Imperial Tobacco dispose d’une quinzaine de sta- tions de travail. «Le concept de coworking a été prouvé. C’est une philosophie sur mesure pour les tra- vailleurs autonomes et les microentreprises. L’important dans «coworking», c’est le «co». C’est une coopérative où tu viens chercher des collègues, des collaborateurs, de la cohé- sion», plaide le cofondateur Guillaume Joly. Ce que gagne l’entrepreneur solitaire c’est un environnement social et la sérendipité. «En venant ici, c’est sûr que t’as plus de chances qu’il se passe quelque chose. Que tu rencontres quelqu’un par hasard qui peut te faire avancer», ajoute celui qui a fréquenté la Station C à Montréal. Archive 25 février 2015  Noburo: colocation pour travailleurs autonomes

29 avril 2025

29 avril 2025

Un premier débat qui n’a pas eu lieu

ÉLECTIONS. Génération Avenir organisait mardi soir le premier de deux débats dans Shefford. Les quatre candidats ont répondu présent, mais le public n’a pas eu droit au débat attendu. Selon la formule choisie par les organisateurs, les candidats ne pouvaient que répondre à tour de rôle à la même question pigée au hasard. La modératrice leur avait formellement interdit de s’interpeller et elle s’est assurée de faire respecter rigoureusement la règle. Le problème, c’est que ce type de démonstration ouvre les portes toutes grandes aux candidats pour répondre n’importe quoi, pour bourrer le public ou pour contourner la vérité sans crainte d’être rabroués. On s’attendait à plus de rigueur de la part de jeunes gens d’affaires et jeunes professionnels que sont les membres de Génération Avenir (G.A.). En ce qui concerne le contenu, les candidats ont répondu à dix questions préparées par les membres de G.A. et pigées au hasard. Au total 20 questions ont été préparées et été envoyées aux candidats une semaine à l’avance. Avec tout ce temps de préparation, on se serait attendu à ce qu’ils arrivent prêts. Ça semblait être le cas de la plupart des candidats, à l’exception de Sylvie Fontaine du Parti conservateur. Madame Fontaine semblait démunie devant chacune des questions. Ses réponses étaient difficiles à suivre et souvent hors sujet ce qui créait un certain malaise. Voici un résumé en rafale des réponses obtenues: Comment stimuler le tourisme? Pierre Breton (Parti libéral du Canada) «Le défi est de s’assurer de travailler en collaboration et en concertation avec tous les organismes et les entreprises concernées pour renforcer notre force économique en tourisme.» Jocelyn Beaudoin (Bloc québécois) «Je veux soutenir l’aéroport Roland-Désourdy dans son projet de liaison Bromont-Toronto pour permettre d’aller chercher un tourisme financier très intéressant qui pourrait aider énormément la région de Shefford.» …

29 avril 2025

29 avril 2025

Première cohorte de «lean start-up» en Haute-Yamaska

AFFAIRES. Entrepreneuriat Haute-Yamaska saute dans le mouvement «lean start-up». L’organisme lance un appel de candidatures pour dénicher six à huit nouveaux entrepreneurs qui souhaitent mettre leur idée d’affaires à l’épreuve. Le concept «lean» vise à aider les entrepreneurs à valider leur idée avant de la mettre en application. Au lieu de consacrer des mois d’efforts et des milliers de dollars dans un projet sans savoir si les clients seront au rendez-vous, on teste le marché à peu de frais. «On a trop souvent négligé la relation avec le client potentiel, explique le conseiller aux entreprises Frédéric Bonner. En lean, le client devient un partenaire dès le départ.» Il s’agit de développer une étude de marché en utilisant les réseaux sociaux et autres outils technologiques pour rejoindre le client potentiel. Les plateformes de sociofinancement sont un exemple parfait où le client est consulté avant même la fabrication du produit. «L’erreur, c’est que les gens ne font pas la différence entre lancer une idée et lancer une entreprise», ajoute M. Bonner. Le «lean start-up» permet donc de valider le potentiel d’une idée avant de démarrer son entreprise. En appliquant par la suite la méthode du business model canevas, on s’assure de répondre aux neuf hypothèses du modèle d’affaires. Si ces réponses sont concluantes, on peut commencer à y investir temps, énergie et argent. «On applique la méthode scientifique à l’entrepreneuriat», résume le conseiller d’Entrepreneuriat Haute-Yamaska. Le mois dernier, le blogueur et journaliste de Les Affaires, Julien Brault, a offert une conférence à Granby sur le concept «lean». Julien Brault a récemment réalisé le défi de lancer une «start-up» en sept jours avec 700$. Cinq séances de travail Pour sa première cohorte lean, Entrepreneuriat Haute-Yamaska prévoit cinq séances de travail. Les six à huit candidats vont se réunir en atelier durant cinq vendredis après-midis consécutifs. La première …

29 avril 2025

28 avril 2025

Une cohorte d’entrepreneurs sur le point d’être formée

ENVIRONNEMENT. Les gens qui souhaitent créer une entreprise pourront bénéficier de services d’accompagnement individuels par le biais d’Entrepreneuriat Haute-Yamaska et ainsi constituer une cohorte d’entrepreneurs pour son programme Accélération. Celui-ci vise à faire profiter de l’effet de groupe à quatre promoteurs qui ont un projet défini. Il prévoit également différentes formes d’aides dont pourront bénificier les quatre entrepreneurs retenus. Le point fort est l’hébergement en mode coworking, sans frais, pour une période de six mois chez Noburo, espace collectif de travail. Les personnes retenues pourront profiter d’un service d’accompagnement, individuel et en groupe, comprenant un coaching d’experts, des outils de visibilité et un accès potentiel au Fonds filières structurantes administrées par Entrepreneuriat Haute-Yamaska. Le programme dure six mois et vise à fournir aux entrepreneurs participants l’ensemble des outils et des connaissances nécessaires à l’optimisation de leur phase de démarrage. «Les candidats retenus auront l’occasion de définir leur proposition de valeur, explorer leur modèle d’affaires, construire un prototype et réaliser leurs premières ventes, suivant l’approche Lean Startup», explique Frédérick Bonner, conseiller chez Entrepreneurirat Haute-Yamaska. Le Fonds filières structurantes est une aide financière non remboursable de 5 000 $ destinée à des entreprises en démarrage. Cette aide s’adresse aux entreprises dans le domaine du développement de logiciels et de la robotique, des technologies propres, du développement durable, des biomatériaux et des produits innovants. Les personnes intéressées ont jusqu’au 13 octobre 2017 pour soumettre leur candidature. Plus de détails au www.eh-y.ca/acceleration. (TC Media)  Archive 7 août 2017  Une cohorte d’entrepreneurs sur le point d’être formée

28 avril 2025

28 avril 2025

Deux années occupées pour Entrepreneuriat Haute-Yamaska

AFFAIRES. Un peu plus de deux ans après sa création,  Entrepreneuriat Haute-Yamaska a déjà rencontré 246 nouveaux promoteurs intéressés à lancer une entreprise sur le territoire, en plus d’avoir organisé 45 activités ayant suscité la participation d’environ 780 personnes. Le conseiller aux entreprises Frédérick Bonner se dit d’ailleurs extrêmement fier de ce bilan, qu’il se doit néanmoins de nuancer. «On ne peut pas vous le cacher, ce n’est pas 100 %, ce de ces gens (rencontrés) qui vont démarrer, bien entendu […]. Mais je pense qu’en facilitant le processus de démarrage d’entreprise, on peut et on pourra augmenter le taux de démarrage effectif. On l’estime actuellement à environ 30 %». Cette statistique grimpe toutefois à 80 % toutefois chez les aspirants entrepreneurs qui ont bénéficié, au cours des 24 derniers mois, d’un coup de pouce financier octroyé par l’organisation, par exemple les mesures Soutien au travail autonome (STA) ou Fonds local d’investissement (FLI). Jusqu’ici, l’instance qui prône l’approche Lean Startup est majoritairement venue en aide à des personnes âgées de 35 à 45 ans. «Pour nous, c’est une bonne nouvelle dans la mesure où l’on pense que la Haute-Yamaska possède les attraits pour attirer des gens qui veulent faire autre chose de leur vie suite à une (première) carrière», ajoute M. Bonner. Environ 44 % de ces personnes sont des femmes, principalement diplômées de niveau collégial. Si la plus grande partie provenait de Granby, 12 % de ceux et celles ayant sollicité l’aide d’Entrepreneuriat Haute-Yamaska étaient de l’extérieur du territoire. Rappelons que l’une des missions de l’organisation est de présenter le territoire comme favorable à l’implantation d’une entreprise ainsi qu’attrayant. Plusieurs modèles de réussite Les modèles positifs et innovants qui se sont développés avec le partenariat de l’organisation ne manquent pas, ajoute M. Bonner. «Parmi les exemples, rappelons Les Mollets Frisquets, MoMa sur meure, Cru …

28 avril 2025

28 avril 2025

Granby Industriel lance son TechnoLab164

ENTREPRENEURIAT.  Les idées d’entreprise vont fuser de toutes parts au TechnoLab164. Lancé par Granby Industriel, le tout nouveau laboratoire entrepreneurial est maintenant à la disposition des créateurs de la Haute-Yamaska. Situé au 3e étage de l’ex-édifice de l’Imperial Tobacco sur la rue Cowie, à Granby, TechnoLab164 s’adressera aux startups, aux jeunes entrepreneurs, aux petites entreprises et aux étudiants finissants à la recherche d’un lieu pour élaborer et valider un produit, un service pour une période de six mois. Financé par Granby Industriel, Desjardins et la MRC de La Haute-Yamaska, TechnoLab164 se compose de quatre zones de travail réparties dans deux locaux: l’Espace Startup (étape de prédémarrage), l’Espace Croissance (aire de développement pour entreprises à haut potentiel), l’Espace Lab (emplacement outillé d’équipements numériques pour la réalisation de prototypes) et l’Espace Atelier (endroit équipé d’outils variés). Pour 20 $ par mois, les adhérents à TechnoLab164 auront accès à cette gamme de services. À cette offre s’ajoute l’expertise des membres de la communauté d’entrepreneurs Noburo et du consultant Francis Deslauriers embauché par Granby Industriel pour encadrer les jeunes promoteurs «On peut dire que la Haute-Yamaska et Granby ont maintenant un espace pour attirer et garder nos créateurs, nos rêveurs et nos patenteux», a lancé d’emblée le directeur général de Granby Industriel, Patrick Saint-Laurent. Mais n’entrera pas qui veut au TechnoLab164.  Granby Industriel, par l’entremise d’Entrepreneuriat Haute-Yamaska, validera chacun des projets qu’on lui proposera pour s’assurer d’accueillir des développeurs oeuvrant dans des domaines stratégiques dans la région. Déjà gestionnaire  du «Centre d’innovation et de technologies industrielles de Granby (CITIG), Granby Industriel s’est en d’ailleurs inspiré pour imager son TehnoLab164 «Cet incubateur industriel (CITIG) permet à des entreprises manufacturières de bénéficier à peu près des mêmes éléments: un espace, un environnement, un local et de l’accompagnement. La seule différence (entre le CITIG et le TechnoLab164), c’est qu’il …

28 avril 2025

28 avril 2025

Des projets et encore des projets chez Noburo

DÉVELOPPEMENT. Sur le point de célébrer ses six ans d’existence, Noburo, qui propose des espaces de coworking aux travailleurs autonomes et microentreprises, mijote une 4 expansion à l’intérieur de ses murs. Une énième expansion en si peu de temps pour la jeune coopérative établie sur la rue Cowie, à Granby. Bien installée au troisième étage de l’ex-usine Imperial Tobacco, la coopérative de solidarité travaille à concrétiser un projet d’espace de codéveloppement. Une nouvelle zone de travail multimédia (micros, écran géant) consacrée à la formation et au partage de connaissances et d’expériences entre professionnels. «L’idée du projet, c’est d’utiliser l’espace pour faire du codéveloppement et profiter de l’intelligence collective. Noburo est né d’un projet de codéveloppement», rappelle le cofondateur de la coop, Guillaume Joly. Et dans un contexte de pandémie, les idées et les suggestions du voisin d’à côté sont toujours les bienvenues aux dires de notre interlocuteur. «On s’aperçoit que la COVID est le plus grand agent de transformation dans les organisations actuellement. C’est pas le technicien en informatique ou la directrice des ressources humaines qui font les changements, c’est la COVID qui change tout. Et la façon la plus intelligente de parler de tout ça, c’est à travers des échanges. Les bons coups, les mauvais coups, qu’est-ce que tu ferais lors de telle ou telle situation», explique M. Joly. Or, pour réaliser son aire de partage et de formation chiffrée à 15 000 $, la coopérative fait appel au vote en ligne du public puisqu’elle est l’une des finalistes au programme des Bourses d’initiatives en entrepreneuriat collectif (BIEC). À l’enjeu? Une bourse pouvant atteindre les 10 000 $. En cours depuis quelques jours, la période de votation au biec.monteregie.quebec se termine ce dimanche 29 novembre. Les gagnants de la Montérégie seront dévoilés le 16 décembre 2020. Qu’importe l’issue du …

28 avril 2025

28 avril 2025

Un nouveau collectif vélo pour se réapproprier l’espace urbain

SOCIÉTÉ. C’est bien connu, Granby est une destination vélo très appréciée des cyclistes en tout genre. Que ce soit par ces nombreuses pistes en nature ou par sa Route Verte. Cependant, lorsque Laura Pedebas est débarquée en ville, elle a constaté qu’aucun collectif de vélo n’existait ici. Ni d’une ni deux, la jeune maman a décidé de monter son propre collectif, Granby à vélo, afin de promouvoir la mobilité pour tous. C’est le 3 novembre prochain que le collectif sera mis sur pied à Granby. Le Collectif GAB Granby à -Vélo (nom sujet à changement) aura pour mission de donner de la visibilité à la communauté qui se déplace à vélo au quotidien dans Granby, de créer des actions de sensibilisation et d’agir à titre de consultants auprès des autorités de la Ville.   Pour réaliser tout ça, Mme Pedebas souhaite amener ses expériences rencontrées dans d’autres pays pour bonifier l’expérience vélo d’ici. Pour elle, il s’agit avant tout de montrer les bons exemples pour inspirer et semer des graines. «Quand on voyage à vélo, on prend conscience de son environnement direct et j’ai pu comparer plusieurs villes à travers le monde et voir les aménagements positifs et négatifs et constater tous les bienfaits que le vélo amenait», souligne l’instigatrice du projet.   Au-delà de la sensibilisation à large échelle, Laura Pedebas souhaite également promouvoir la mobilité à vélo pour la rendre accessible à tous, dans une optique de réappropriation des villes par les humains. «On peut donner toutes les excuses qu’on veut pour ne pas faire du vélo, aucune n’est valable sauf le manque d’envie. Et moi, ce que j’aimerais, c’est d’apporter à chaque personne qui souhaiterait se lancer la possibilité d’essayer, que ce soit une personne à mobilité réduite, un enfant ou monsieur-madame tout le monde. J’ai envie d’apporter …

28 avril 2025

28 avril 2025

Un chèque de 635 000 $ pour dix projets en communauté

FINANCEMENT. La MRC de la Haute-Yamaska a annoncé les dix projets structurants, financés dans le cadre du Fonds de développement des communautés (FDC). Cet investissement de 635 758 $ vise à dynamiser l’économie locale et à encourager l’innovation. Parmi les projets retenus, la Ville de Granby a notamment reçu une aide financière de 100 000$ pour installer 20 nouveaux terrains de pétanque. L’appel de projets, lancé à l’hiver 2023, a abouti à la sélection de dix initiatives qui devraient générer des investissements d’une valeur totale de 1 436 783 $ dans la communauté. Cette injection financière représente un doublement de la valeur de chaque dollar investi par le FDC. « Sur douze projets soumis, le comité en a retenu dix qui répondaient tout particulièrement aux priorités et défis régionaux. Près d’un million et demi de retombées estimées investies directement dans nos communautés, ce n’est pas rien ! », a mentionné Paul Sarrazin, préfet de la MRC de la Haute-Yamaska.   Dans un souci d’optimisation des ressources et de maximisation des fonds disponibles, la MRC avait décidé à l’automne dernier de regrouper deux appels de projets en un seul, augmentant ainsi le financement disponible. Cette décision a permis aux projets locaux de bénéficier d’un financement pouvant atteindre jusqu’à 100 000 $, comparativement à 60 000 $ dans les années précédentes. Cette augmentation visait à soutenir des projets structurants d’envergure encore plus significative.   « Grâce au FDC, la MRC vient soutenir les initiatives du milieu et appuyer les organismes et les municipalités dans la réalisation de projets porteurs et novateurs pour notre territoire. Même si nous ne savons pas précisément ce que réserve l’avenir pour ce Fonds, sa feuille de route est impressionnante et nous pouvons en être fiers », a souligné Karine Filiatrault, conseillère au développement de la ruralité et de l’agroalimentaire …

28 avril 2025